Mon logo sur un déchet ?
La société Releaf Paper a fait ce pari en 2020 en offrant une nouvelle vie à une ressourcetrop peu considérée : les feuilles mortes. Un choix audacieux dans un contexte écologique et économique difficile.
Mais pour quelles nouvelles perspectives ?
Le recyclage de matières organiques n’implique pas les mêmes technologies que celles employées pour le plastique ni les mêmes résultats. Les matières sont plus fragiles et les débouchés moins vastes.
Pourtant elle représente une opportunité unique : produire avec une matière première à bas coût en préservant notre écosystème.
En parvenant à collecter puis extraire la pulpe des feuilles mortes Releaf Paper ouvre la voie à une industrie pleine de promesses.
Pourtant elle représente une opportunité unique : produire avec une matière première à bas coût en préservant notre écosystème.
En parvenant à collecter puis extraire la pulpe des feuilles mortes Releaf Paper ouvre la voie à une industrie pleine de promesses.
1. Une alternative nécéssaire
Le recyclage des feuilles en pulpe a longtemps été négligé par les fabricants. Approvisionnement instable, matière pollué, coût de revient trop élevé… les raisons ne manquaient pas.
Pourtant depuis un moment les crises écologique et économique rebattent les cartes. Face à la hausse du prix des énergies et la déforestation engendrée par la production de papier, des recherches d’alternatives se sont multipliée comme celles de Releaf Paper.
Pourtant depuis un moment les crises écologique et économique rebattent les cartes. Face à la hausse du prix des énergies et la déforestation engendrée par la production de papier, des recherches d’alternatives se sont multipliée comme celles de Releaf Paper.
2. Coopération internationale
Après plusieurs années d’étude sur les feuilles mortes, son fondateur, Valentyn Frechka, obtient un prototype concluant prêt à être présenté.
En 2020, après une réception positive, des négociations sont menées avec les collectivités et les freins économiques se lèvent peu à peu.
La communauté européenne s’empare du sujet et Releaf Paper gagne rapidement en notoriété. En 2021 elle s’étend au delà de l’Ukraine et ouvre de nouveaux bureaux en France.
En 2020, après une réception positive, des négociations sont menées avec les collectivités et les freins économiques se lèvent peu à peu.
La communauté européenne s’empare du sujet et Releaf Paper gagne rapidement en notoriété. En 2021 elle s’étend au delà de l’Ukraine et ouvre de nouveaux bureaux en France.
3. 5000 tonnes de pulpe par an
C’est l’objectif affiché par l’entreprise pour son site francilien dont la zone de récoltes se situe sur la capitale, les Yvelines, et les département limitrophes dans un rayon de 30 km.
Un projet d’ampleur dont l’ambition est de commercialiser leur papier mais aussi de fournir une matière première plus écologique au papeterie française et européenne.
Un projet d’ampleur dont l’ambition est de commercialiser leur papier mais aussi de fournir une matière première plus écologique au papeterie française et européenne.
Conclusion
La revalorisation des déchets s’applique également aux matières organiques.
En re-pensant leur place au sein des cycles naturels, les entreprises peuvent interagir plus respectueusement avec leur environnement.
La barrière économique n’est plus une fatalité. Face au enjeux écologiques la collaboration permet de donner vie à des initiatives nécessaires au devenir de nos sociétés.
En re-pensant leur place au sein des cycles naturels, les entreprises peuvent interagir plus respectueusement avec leur environnement.
La barrière économique n’est plus une fatalité. Face au enjeux écologiques la collaboration permet de donner vie à des initiatives nécessaires au devenir de nos sociétés.